Le pacte de "stabilité " a été voté, une victoire de pacotille pour Valls.
Adopté de justesse par 265 voix pour, 232 contre, 67 abstentions dont 41 députés socialistes...
Valls a perdu hier la confortable stabilité de sa majorité.
Un début d'effritement de la majorité que le gouvernement aurait tort de sous-estimer.
Cette légère secousse sismique annoncerait-t-elle un séisme plus dévastateur ? Et si le changement était pour bientôt ?
La gauche du PS va-t-elle enfin se réveiller et prendre conscience de sa capacité à porter ce changement au nom duquel la gauche s'est unie en 2012, aux côtés de Hollande ?
Valls comme Hollande ne peuvent continuer de piétiner les valeurs de gauche sans le soutien donné à contre-coeur de ceux qui pensent à tort que s'opposer est trahir. Lorsqu'un ami est dans l'erreur ne doit-on pas le prendre par la main et lui montrer un meilleur chemin ?
Défendre les valeurs du socialisme va-t-il devenir un acte de résistance pour ceux qui refusent que le parti socialiste devienne un parti "social-libéral"
Je voudrai juste faire remarquer que l'Espagne qui applique un plan d'austérité en est à 25 % de chômeurs... On ne peut que douter de l'efficacité de cette méthode pour relancer une économie moribonde, non ?
Le vote de ce pacte est un acte fondateur selon Valls, en effet fondateur de sa prise de conscience qu'il faudra désormais tenir compte de l'avis de sa majorité... oups, je crois qu'il avait oublié ce détail :-)
30/04/2014
23/04/2014
le bonnet rouge de la honte
En tant que citoyenne et bretonne, j'avoue m'inquiéter de voir des personnalités politiques locales ayant des responsabilités d'envergure telles que la charge de mairies ou d'intercommunalités, soutenir un mouvement tel que celui des bonnets rouges, dont certains de leurs soutiens semblent avoir pour projet de se présenter aux élections régionales...alors que :
Ce mouvement qui aurait pu sembler fort romantique au début, le faible contre le fort, le bonnet contre le képi, a pris récemment une tournure judiciaire avec l'arrestation de plusieurs de ses membres qui se seraient radicalisés...
Je cite le Figaro : " Présent à l'audience, Christian Troadec, maire de Carhaix et figure des «bonnets rouges», s'est dit choqué «pour les familles qui sont là» par le placement en détention provisoire de quatre des militants. "
Sachant que les prévenus :
" devaient être jugés pour «association de malfaiteurs», pour avoir projeté d'incendier une antenne-relais SFR ou encore une déchetterie. Six d'entre eux devaient aussi l'être pour avoir mis le feu au portique écotaxe de Pontorson (Manche) le 28 décembre 2013."
Un élu de la république française ne devrait-il pas plutôt être ému de ces actes dont sont accusés les dits bonnets rouges ?
Qu'adviendrait-il de la Bretagne ( que ces personnes disent aimer ) et même de notre république si chaque citoyen de mauvais poil contre l’État devait se mettre à tout casser ou incendier sur son passage en se dédouanant en parlant de l'amour de sa région ?
Il y a quelques années, lorsqu'il y eut des émeutes dans les banlieues, a-t-on parlé d'amour de la banlieue, ou de casseurs ? je vous laisse y songer.
Même si je respecte ceux qui défendent la culture bretonne, la langue bretonne et nos traditions, je ne suis pas solidaire de ce type de mouvement qui n'a comme objectif que de permettre à des élus aux dents longues de prendre une ampleur dont ils n'auraient jamais rêvé jusqu'à peu, et de légitimer des mouvements extrémistes qui se sont infiltrés dans ce mouvement dit citoyen.
Ma vision de la Bretagne est une terre de partage, d'ouverture, et pas de repli sur elle.
Il ne suffit pas de tenir un drapeau breton pour justifier l'intolérable.
Notre pays qui traverse des difficultés doit rester soudé, garder son unité, et ceux qui militent de façon à mettre la Bretagne en marge de la république, la marginalise ce qui au bout du compte l'affaiblira... Ne laissons pas des politiciens soit disant sans étiquettes instrumentaliser notre région à des fins purement électoralistes !
Ce mouvement qui aurait pu sembler fort romantique au début, le faible contre le fort, le bonnet contre le képi, a pris récemment une tournure judiciaire avec l'arrestation de plusieurs de ses membres qui se seraient radicalisés...
Je cite le Figaro : " Présent à l'audience, Christian Troadec, maire de Carhaix et figure des «bonnets rouges», s'est dit choqué «pour les familles qui sont là» par le placement en détention provisoire de quatre des militants. "
Sachant que les prévenus :
" devaient être jugés pour «association de malfaiteurs», pour avoir projeté d'incendier une antenne-relais SFR ou encore une déchetterie. Six d'entre eux devaient aussi l'être pour avoir mis le feu au portique écotaxe de Pontorson (Manche) le 28 décembre 2013."
Un élu de la république française ne devrait-il pas plutôt être ému de ces actes dont sont accusés les dits bonnets rouges ?
Qu'adviendrait-il de la Bretagne ( que ces personnes disent aimer ) et même de notre république si chaque citoyen de mauvais poil contre l’État devait se mettre à tout casser ou incendier sur son passage en se dédouanant en parlant de l'amour de sa région ?
Il y a quelques années, lorsqu'il y eut des émeutes dans les banlieues, a-t-on parlé d'amour de la banlieue, ou de casseurs ? je vous laisse y songer.
Même si je respecte ceux qui défendent la culture bretonne, la langue bretonne et nos traditions, je ne suis pas solidaire de ce type de mouvement qui n'a comme objectif que de permettre à des élus aux dents longues de prendre une ampleur dont ils n'auraient jamais rêvé jusqu'à peu, et de légitimer des mouvements extrémistes qui se sont infiltrés dans ce mouvement dit citoyen.
Ma vision de la Bretagne est une terre de partage, d'ouverture, et pas de repli sur elle.
Il ne suffit pas de tenir un drapeau breton pour justifier l'intolérable.
Notre pays qui traverse des difficultés doit rester soudé, garder son unité, et ceux qui militent de façon à mettre la Bretagne en marge de la république, la marginalise ce qui au bout du compte l'affaiblira... Ne laissons pas des politiciens soit disant sans étiquettes instrumentaliser notre région à des fins purement électoralistes !
18/04/2014
l'interco de Guingamp, village de gaulois...
Bref...J'ai assisté hier à l'élection surréaliste du président et des vice-présidents de l'intercommunalité de Guingamp.
La gauche a perdu, malgré un excellent bilan du président sortant Aimé Dagorn, au profit du maire de Ploumagoar.
La vision très " village " du nouveau patron de l'interco risque de tirer notre zone vingt ans en arrière, d'autant que les compétences de gestionnaire de celui-ci méritent qu'on s'y attarde je cite le site proxiti avec comme source le ministère de l'économie et des finances : " A Ploumagoar, la dette par habitant a augmenté de 82.88 % entre 2008 et 2012.
Pendant la même période, les communes françaises similaires à Ploumagoar, ont vu leur dette par habitant augmenter de 11.8 % en moyenne entre 2008 et 2012."
Sans doute que les conseillers communautaires n'ont pas d'internet pour s'informer sur les compétences en matière de budget de leurs camarades... c'est regrettable ces problèmes de réseaux internet mine de rien...
On comprend que le choix des électeurs lors des municipales est lourd de conséquences : Il n'y aura pas de commune nouvelle ici ( qui aurait accru les dotations, et dynamisé notre territoire en le rendant plus efficace et plus cohérent) au motif, attention accrochez-vous : il faut défendre l'identité des villages alentours. ( comprenez en fait qu'il faut défendre le pré carré de certains...)
Car figure-toi lecteur du bout de la France, les village de Pabu, Ploumagoar, plouisy, grâces, st Agathon, bourgs de moins de 5000 habitants, ont leur propre identité, complètement différente de celle des bourgs situés à 100 mètres de là ( sachant que ces zones sont contiguës )
Le ploumagoarien, le pabuais, ou encore les gars de plouisy ne doivent pas manger, ou parler, ou pisser comme les autres, je ne sais pas.
J'avoue que cela fait des années que je tente de cerner l'identité atypique de chacun de ces bourgs, et je n'ai pas trouvé. Le plus comique est que lorsque vous posez la question aux tenants de cette théorie de l'identité communale personne n'est capable de vous expliquer en quoi leur identité est différente de celle du village d'à côté !
Autant je veux bien reconnaitre une différence d'identité (économique, historique, de coutumes) entre une ville côtière comme Paimpol et une ville de l'intérieur des terres comme Guingamp, autant là je suis dans le flou le plus total.
Quoiqu'il en soit, les gars aux cerveaux très inventifs qui mènent ces bourgs ont réussi à vendre à leurs électeurs une identité hypra-super-locale, le repli sur soi au kilomètre près, fallait le faire ( ils seraient probablement capables de vendre un igloo à un nomade dans le désert, ou un chameau à un mec sur sa banquise, de bons commerciaux...dommage qu'ils exercent ici et pas sur la banquise ou à Tiziouzou ;-)
Plus sérieusement cette théorie anti-commune nouvelle a permis à ces villages de se liguer contre le grand-guingamp ( allias le grand méchant loup version interco) que soutenait notre président sortant.
A l'heure de la mondialisation, de la compétitivité, je vous laisse imaginer ce qu'il va advenir de notre joli coin de Bretagne avec des mentalités bloquées au temps des villages de gaulois...
Je suis triste pour tous ceux, notamment de ma génération qui fondaient de grands espoirs dans une zone guingampaise plus dynamique, plus attractive au niveau économique, qui espéraient rejoindre le mouvement lancé par les zones de Saint-brieuc ou de Lannion.
Je dédicace ce billet à celui qui avait prophétisé le résultat d'hier soir avec beaucoup de clairvoyance, dommage qu'il fut le seul...
15/04/2014
message de service
Dans cette chanson, un très bon résumé des idées que vous trouverez sur ce blog politiquement correct, à ceux que cela déplait, inutile de me laisser vos commentaires rageurs que je ne publierai pas, parce que comme le dit Benabar " je vous emmerde ! "
11/04/2014
le changement, c'est nous !
Caroline de Haas, une des fondatrices du mouvement "osez le féminisme" a rendu sa carte du PS accompagné d'un courrier qui illustre tout a fait la position et les constats que je tiens sur ce blog depuis un moment.
Le reproche le plus lourd et celui qui me navre le plus, De Haas le résume ainsi : " Je ne reproche pas au Parti socialiste de ne pas avoir renversé la table. Je lui reproche de n’avoir même pas essayé de la faire bouger."
Là réside la faute de Hollande envers son électorat, ce n'est pas d'avoir échoué jusque là à changer notre société ou à améliorer en profondeur le sort de ceux qui en ont le plus besoin,
la faute est de ne pas avoir changé de méthode ou de politique économique par rapport au précédent président.
Symptomatique du mal dont souffre le socialisme, la droite se contente de critiquer la "gauche " au pouvoir sur la forme et jamais sur le fond, et comme le pourrait-elle alors que la politique menée n'est rien d'autre que la continuité de leurs propres visions libérales. La droite ne peut tout de même pas aller jusqu'à féliciter notre président, mais on en est plus bien loin, tant il met de bonne volonté à démonter pierre par pierre les acquis sociaux des salariés...
« C’est difficile, mais nous n’avons pas le choix ». Mais s’il n’y a pas d’alternative, à quoi cela sert de faire de la politique ? " voilà une bonne question que pose cette ex-socialiste !
Si pratiquer le socialisme revient à ne rien changer, à n'apporter aucun espoir au peuple, à prendre des positions consensuelles pour rester dans la ligne du gouvernement : autant rester chez soi et se lancer dans le macramé ou la peinture sur soie.
Le changement demande du courage, demande aussi d'y croire assez fort, mais Hollande y-a-t-il cru une seule seconde ?
je ne le pense pas, d'ailleurs dés les primaires j'avais émis des doutes quant à son désir de gauche, mais beaucoup m'avait soutenu que son côté rassembleur même vers le centre était un cadeau du ciel pour remporter l'élection contre Sarko. On le paie bien cher le cadeau, n'est-ce pas ?
Là où le bât blesse c'est que de renoncements en échec électoral, nous les sympathisants ou simples militants, nous nous essoufflons. Comment défendre l'indéfendable, comment donner du sens à ce que nous même nous ne comprenons pas ?
Caroline De haas le dit " Nous avons fait reculer la gauche dans les têtes et dans les faits "
et c'est ce qui fait le plus mal, tout ce chemin parcouru pour... rien si ce n'est des électeurs déboussolés et des mairies qui basculent à droite et à l'extrême-droite.
Réussir à ne rien vouloir changer en ayant toutes les clés du pays, le sénat, l'assemblée, les régions...avouons qu'une telle mauvaise foi est ahurissante, et désespérante...d'où les départs de militants tels que Caroline.
Choisir de changer de premier ministre au lendemain de la déconfiture du premier tour ( alors que ce changement aurait dû se faire bien des mois auparavant ce qui montre le manque d'écoute et d'anticipation de la personne qui nous dirige)
et cerise sur le gâteau choisir le mec le plus à droite du PS alors que le peuple de gauche se plaint d'une politique pas assez à gauche justement, un psychiatre donnerait le choix entre deux diagnostics :
La solution ne serait-elle pas plutôt d'y rester, voire d'y entrer ( pour ceux qui n'y sont pas encore mais qui sont sympathisants depuis longtemps ) et de lutter de l'intérieur pour rendre au parti ses vraies valeurs et son cap ?
Les militants et les sympathisants ont besoin de ces voix qui s'élèvent pour réclamer un nouveau cap, celui que Hollande nous a promis la main sur le cœur au Bourget !
Le changement sommeille dans chacune de ces voix, il ne tient qu'à nous tous de faire de ce qui n'est encore qu'un murmure un véritable cri qui résonnera aux oreilles de notre président, de son communiquant de premier ministre ainsi que de tous les mollassons qui refusent de bouger un petit doigt de peur de déplaire au " parti "...
J'espère toujours...
le changement n'est pas en Hollande, nous devons en faire le deuil, le changement est en chacun de ceux qui auront la volonté de le porter.
Voilà un beau slogan non ? " le changement, c'est nous ! "
Le reproche le plus lourd et celui qui me navre le plus, De Haas le résume ainsi : " Je ne reproche pas au Parti socialiste de ne pas avoir renversé la table. Je lui reproche de n’avoir même pas essayé de la faire bouger."
Là réside la faute de Hollande envers son électorat, ce n'est pas d'avoir échoué jusque là à changer notre société ou à améliorer en profondeur le sort de ceux qui en ont le plus besoin,
la faute est de ne pas avoir changé de méthode ou de politique économique par rapport au précédent président.
Symptomatique du mal dont souffre le socialisme, la droite se contente de critiquer la "gauche " au pouvoir sur la forme et jamais sur le fond, et comme le pourrait-elle alors que la politique menée n'est rien d'autre que la continuité de leurs propres visions libérales. La droite ne peut tout de même pas aller jusqu'à féliciter notre président, mais on en est plus bien loin, tant il met de bonne volonté à démonter pierre par pierre les acquis sociaux des salariés...
« C’est difficile, mais nous n’avons pas le choix ». Mais s’il n’y a pas d’alternative, à quoi cela sert de faire de la politique ? " voilà une bonne question que pose cette ex-socialiste !
Si pratiquer le socialisme revient à ne rien changer, à n'apporter aucun espoir au peuple, à prendre des positions consensuelles pour rester dans la ligne du gouvernement : autant rester chez soi et se lancer dans le macramé ou la peinture sur soie.
Le changement demande du courage, demande aussi d'y croire assez fort, mais Hollande y-a-t-il cru une seule seconde ?
je ne le pense pas, d'ailleurs dés les primaires j'avais émis des doutes quant à son désir de gauche, mais beaucoup m'avait soutenu que son côté rassembleur même vers le centre était un cadeau du ciel pour remporter l'élection contre Sarko. On le paie bien cher le cadeau, n'est-ce pas ?
Là où le bât blesse c'est que de renoncements en échec électoral, nous les sympathisants ou simples militants, nous nous essoufflons. Comment défendre l'indéfendable, comment donner du sens à ce que nous même nous ne comprenons pas ?
Caroline De haas le dit " Nous avons fait reculer la gauche dans les têtes et dans les faits "
et c'est ce qui fait le plus mal, tout ce chemin parcouru pour... rien si ce n'est des électeurs déboussolés et des mairies qui basculent à droite et à l'extrême-droite.
Réussir à ne rien vouloir changer en ayant toutes les clés du pays, le sénat, l'assemblée, les régions...avouons qu'une telle mauvaise foi est ahurissante, et désespérante...d'où les départs de militants tels que Caroline.
Choisir de changer de premier ministre au lendemain de la déconfiture du premier tour ( alors que ce changement aurait dû se faire bien des mois auparavant ce qui montre le manque d'écoute et d'anticipation de la personne qui nous dirige)
et cerise sur le gâteau choisir le mec le plus à droite du PS alors que le peuple de gauche se plaint d'une politique pas assez à gauche justement, un psychiatre donnerait le choix entre deux diagnostics :
- soit un autisme profond ( sauf que François ne se balance pas d'avant en arrière en se cognant la tête contre les murs de l'Elysée, enfin à ma connaissance )
- soit il se fout royalement de notre gueule à tous ( ce qui je le crains semble être la solution à retenir )
La solution ne serait-elle pas plutôt d'y rester, voire d'y entrer ( pour ceux qui n'y sont pas encore mais qui sont sympathisants depuis longtemps ) et de lutter de l'intérieur pour rendre au parti ses vraies valeurs et son cap ?
Les militants et les sympathisants ont besoin de ces voix qui s'élèvent pour réclamer un nouveau cap, celui que Hollande nous a promis la main sur le cœur au Bourget !
Le changement sommeille dans chacune de ces voix, il ne tient qu'à nous tous de faire de ce qui n'est encore qu'un murmure un véritable cri qui résonnera aux oreilles de notre président, de son communiquant de premier ministre ainsi que de tous les mollassons qui refusent de bouger un petit doigt de peur de déplaire au " parti "...
J'espère toujours...
le changement n'est pas en Hollande, nous devons en faire le deuil, le changement est en chacun de ceux qui auront la volonté de le porter.
Voilà un beau slogan non ? " le changement, c'est nous ! "
03/04/2014
Valls, roi des sondages, ça c'était avant
Il y a seulement quelques jours, notre président dans le but de satisfaire les con...citoyens qui se sont abstenus ou qui ont voté contre la gauche aux municipales pour sanctionner sa politique, a choisi le ministre préféré des français, leur chouchou selon les sondages : Emmanuel Valls. Le gars le moins à gauche pour faire plaisir à la gauche ? logique sauce hollandaise, personne y comprends que dalle.bref.
Ils étaient une palanquée de français sondés à frémir d'envie de voir le ministre de l'intérieur, prendre une place plus importante. François, pas chameau, leur a fait plaisir, il a viré son pote Ayrault, un peu usé par sa fonction de 1er ministre, et a propulsé notre quinqua en haut de l'affiche.
Le peuple de "gauche" mécontent qui a voté à droite, voire à l'extrême droite, est-il heureux maintenant de ce changement ?
Le con ! non ! le peuple râle encore !
" Selon le baromètre CSA pour « Les Echos » et Radio Classique, 41% seulement des Français font « confiance » à Manuel Valls pour « résoudre les problèmes »
Dans le même temps, on lit : " Quelques jours après le vote sanction des élections municipales, la cote de confiance du chef de l’Etat reste stable à 25%. Les avis défavorables à son égard augmentent même de 1 point, à 72%."
Si on suit la logique sondagière, Valls était adoré des français tant qu'il était un simple ministre et sa prise de galons l'a fait dégringolé, alors peut-être qu'à l'inverse, hollande en acceptant un ministère pourrait regagner des points, mais qui prendrait sa place ? Ségolène ? Elle part avec une côte à zéro dans les sondages, tout le monde avait oublié jusqu'à son existence... elle ne pourrait qu'augmenter...
On a beau dire faire de la politique en surveillant les sondages demande des compétences que je n'ai pas, et je suis pas la seule, semble-t-il.
En attendant pauvre Valls, peuchère, le pitchoun a pas encore commencé à bosser qu'on lui vole déjà dans les plumes...enfin attendons les prochainesbranlées échéances électorales, si la politique du gouvernement ne vire pas à gauche, il n'aura pas longtemps à attendre avant de prendre son envol, comme Ayrault.
Ils étaient une palanquée de français sondés à frémir d'envie de voir le ministre de l'intérieur, prendre une place plus importante. François, pas chameau, leur a fait plaisir, il a viré son pote Ayrault, un peu usé par sa fonction de 1er ministre, et a propulsé notre quinqua en haut de l'affiche.
Le peuple de "gauche" mécontent qui a voté à droite, voire à l'extrême droite, est-il heureux maintenant de ce changement ?
Le con ! non ! le peuple râle encore !
" Selon le baromètre CSA pour « Les Echos » et Radio Classique, 41% seulement des Français font « confiance » à Manuel Valls pour « résoudre les problèmes »
Dans le même temps, on lit : " Quelques jours après le vote sanction des élections municipales, la cote de confiance du chef de l’Etat reste stable à 25%. Les avis défavorables à son égard augmentent même de 1 point, à 72%."
Si on suit la logique sondagière, Valls était adoré des français tant qu'il était un simple ministre et sa prise de galons l'a fait dégringolé, alors peut-être qu'à l'inverse, hollande en acceptant un ministère pourrait regagner des points, mais qui prendrait sa place ? Ségolène ? Elle part avec une côte à zéro dans les sondages, tout le monde avait oublié jusqu'à son existence... elle ne pourrait qu'augmenter...
On a beau dire faire de la politique en surveillant les sondages demande des compétences que je n'ai pas, et je suis pas la seule, semble-t-il.
En attendant pauvre Valls, peuchère, le pitchoun a pas encore commencé à bosser qu'on lui vole déjà dans les plumes...enfin attendons les prochaines
01/04/2014
pas intellectuel, hollande est manuel
Il paraitrait que François Hollande a eu un problème de calendrier, une erreur. Il a fait une énorme blague à toute la France un jour à l'avance, le 31 mars au lieu du 1er avril. C'est con.. Du coup, son sens de l'humour que nous avons tant apprécié pendant sa campagne a fait un gros bide parmi ses soutiens d'Hier...
Alors que s'il avait annoncé sa blague aujourd'hui, là oui, nous nous serions tous esclaffé, nous tapant la cuisse en disant " ah ce François quel rigolo !"
bon, là cela se dit aussi, chez de nombreux blogueurs, et ex-soutiens.
Après une élection LOCALE sanctionnant sa politique trop à droite qui a couté de nombreuses mairies à la gauche, la réponse surprenante de François est de propulser un freluquet monté sur ses ergots à la place de premier ministre, oui les amis, je vous parle du gars qui s'est lamentablement vautré à la primaire des socialistes, un dont la chasse aux roms est semble-t-il le sport favori...
ah lala, l'humour n'est pas à la portée de tous, et je l'avoue je ne comprends décidément plus rien à celui de notre François.
François souffrant d'une bouffée délirante s'est mis en tête de rassembler une nouvelle majorité pour l'élection de 2017, à droite. Ben dis donc, sarko et toute sa clique doivent trembler dans leurs petites bottes, un nouveau concurrent. je me marre, un peu jaune je dois dire...
Quand la gauche après avoir perdu 72 de ses mairies, aura fait le deuil de ses autres points d'encrage, et que le territoire sera bleu, voire bleu marine, il est possible que cette tactique droitière fonctionne, ne serait-ce que pour le remercier pour services rendus, à son nouveau camp...
Il est alarmant de constater que François a entendu le message des électeurs, mais soit a décidé de s'en battre les couilles, soit n'y a rien compris, chacun choisira la solution la plus confortable intellectuellement pour avaler la pilule.
Cette blague dont je ne goute pas l'humour sera au moins l'occasion d'annoncer une naissance, celle du blog Vallscination, celui d'un ex-blogueur de "gouvernement" qui nous prouve à tous qu'être à gauche c'est rester fidèle à ses valeurs qu'elle que soit la situation...(la bise à Bembelly, un sincère blogueur.)
Soutenir oui, mais pas à n'importe quel prix, à bon entendeur, monsieur Hollande !
Alors que s'il avait annoncé sa blague aujourd'hui, là oui, nous nous serions tous esclaffé, nous tapant la cuisse en disant " ah ce François quel rigolo !"
bon, là cela se dit aussi, chez de nombreux blogueurs, et ex-soutiens.
Après une élection LOCALE sanctionnant sa politique trop à droite qui a couté de nombreuses mairies à la gauche, la réponse surprenante de François est de propulser un freluquet monté sur ses ergots à la place de premier ministre, oui les amis, je vous parle du gars qui s'est lamentablement vautré à la primaire des socialistes, un dont la chasse aux roms est semble-t-il le sport favori...
ah lala, l'humour n'est pas à la portée de tous, et je l'avoue je ne comprends décidément plus rien à celui de notre François.
François souffrant d'une bouffée délirante s'est mis en tête de rassembler une nouvelle majorité pour l'élection de 2017, à droite. Ben dis donc, sarko et toute sa clique doivent trembler dans leurs petites bottes, un nouveau concurrent. je me marre, un peu jaune je dois dire...
Quand la gauche après avoir perdu 72 de ses mairies, aura fait le deuil de ses autres points d'encrage, et que le territoire sera bleu, voire bleu marine, il est possible que cette tactique droitière fonctionne, ne serait-ce que pour le remercier pour services rendus, à son nouveau camp...
Il est alarmant de constater que François a entendu le message des électeurs, mais soit a décidé de s'en battre les couilles, soit n'y a rien compris, chacun choisira la solution la plus confortable intellectuellement pour avaler la pilule.
Cette blague dont je ne goute pas l'humour sera au moins l'occasion d'annoncer une naissance, celle du blog Vallscination, celui d'un ex-blogueur de "gouvernement" qui nous prouve à tous qu'être à gauche c'est rester fidèle à ses valeurs qu'elle que soit la situation...(la bise à Bembelly, un sincère blogueur.)
Soutenir oui, mais pas à n'importe quel prix, à bon entendeur, monsieur Hollande !
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