La commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale examine la réforme des retraites défendue par le ministre du Travail, Eric Woerth, en huis clos...oui, huis clos, cachés derrière des rideaux d'excuses fumeuses, telle que l'exigence de la sérénité des débats...
Quelle belle démocratie que la notre ! Le travail parlementaire se fait dans le plus grand secret, à l'abri des français, mais petit grain de sable, twitter ou les blogs risquent de compromettre cette omerta parlementaire car certains choqués par des tels procédés comptent bien communiquer sur les travaux en cours. Les plus téméraires allant même jusqu'à risquer des cartons rouges...
Il existe un endroit qui ne sera pas clos aux français, le 7 septembre, c'est la rue où il pourra exprimer son refus de cette réforme injuste.
3 commentaires:
Tiens ! On n'a qu'à faire la révolution numérique.
@nicolas : le bémol, c'est qu'en cas de panne de réseau,ou plus simplement d'électricité, on a l'air de cons ;-)
je connais un bon fournisseur de groupes électrogènes.
Le parlementarisme à huis clos ...encore une invention démocratique à breveter d'urgence. Avant il y avait le siècle des lumières, désormais il y a le quinquennat des lumières. Trop fort !
(je garde ton idée de faire un billet sur la faune observée pendant mes vacances, patience.)
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