06/08/2010

lève toi et marche

Bloguer, ne se résume pas seulement à écrire des petits billets sympathiques pour ses copains et sa famille ( que je salue au passage...), cela peut être utile aussi pour agir à sa façon, à exprimer son indignation et son refus.

Je me refuse à croire qu'une majorité de français est d'accord pour créer une sous-catégorie de français, des français de seconde zone : la loi doit être la même pour tous les français, c'est cela l'égalité entre les tous les citoyens, bannir les privilèges et assurer une égalité des chances, voilà l'objectif d'une véritable démocratie !

Assurer la sécurité, lutter contre la violence, oui, mais que cette lutte ne devienne pas un moyen électoraliste en racolant ce que la France a de plus vil, ni un prétexte pour masquer ses erreurs, ses manquements et son complet échec dans sa politique.
Surprenant qu'avec un chômage de 2,957 millions d'actifs, une augmentation de 6,2 % en 2009, la seule préoccupation de nos gouvernants soit de bouter hors de nos frontière une poignée de roms vivant dans des cabanes en carton !

Les propos tenus au plus haut de l'État, les fameux sondages discutables relayés par une presse aux ordres, sont des éléments qui ruinent l'image de notre pays dans le monde entier, et on ne sait quels seront les effets à plus ou moins long terme d'une perte de confiance envers un pays cités autrefois comme exemple dans le domaine des droits de l'homme.

Pourquoi devrions-nous nous résigner à perdre la liberté, l'égalité et la fraternité ?
Trois mots qui ne sont pas vides de sens comme on tente de nous le faire croire !
Trois mots pour lesquels beaucoup ont perdu la vie dans l'espoir que les générations futures vivraient dans un monde plus juste : Devons-nous faire une croix sur cet héritage ? Nos enfants devront-ils grandir sans savoir ce qu'ils signifient ?

Je le refuse, c'est pourquoi lecteur, que tu sois de droite ou de gauche, suis-moi ICI, cette pétition, c'est un premier pas que tu feras pour défendre la liberté, l'égalité et la fraternité. le second pas que tu feras te mènera encore dans la rue, le 4 septembre pour crier non pas "travail, famille, patrie" mais "Liberté, Égalité, Fraternité", des mots qui vivront tant que tu continueras d'y croire.

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